Blagues v'nez boire un ptit coup !

Je commence (Plz pas de messages sans blagues :p)

Un Allemand, un Anglais et un Chinois sont invités chez un Emir très riche qui possède une piscine magique.
Il suffit de penser à quelque chose quand on plonge pour que cela se réalise.
L'Allemand prend son élan et plonge en pensant "bière" et la piscine se remplit de bière.
L'Anglais s'élance et pense "whisky" avant de plonger. La piscine se remplit de de whisky.
Tout le monde est époustouflé. Mais le Chinois se dit qu'il y a bien mieux à faire avec cette piscine.
Il prend son élan et, au moment de plonger, trébuche et crie "MERDE !!!

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Une dame entre dans le cabinet du dentiste. Sans hésiter,
elle retire sa petite culotte, remonte sa jupe,
s'assied dans le fauteuil et ouvre ses jambes bien large!...
- Vous devez faire erreur -lui dit le dentiste outré- Je suis chirurgien-dentiste.
Le gynécologue, c'est l'étage au dessus!
- Non non, je n'ai pas fait erreur.
C'est vous qui avez installé le nouveau dentier de mon mari la semaine dernière,
eh bien c'est vous qui allez le retirer maintenant!
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Deux Américains marchent dans la rue. Soudain, ils aperçoivent une déjection animale:
- Dis tu crois que c'est une merde de chien?
- Je ne sais pas, goûte!
l'autre met son doigt dedans et répond
- Oui, il me semble bien
- Attend, je goûte aussi!
il met lui aussi son doigt dedans et le lèche soigneusement
- Ouais, ça c'est de la merde de chien
- Eh ben, heureusement qu'on a pas marché dedans
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C'est l'histoire d'un couple belge qui part pour un voyage aux States. La femme dit à son mari:
- Gilbert, Tu crois qu'à la douane,
ils vont laisser passer la chauve-souris et le putois que l'on va offrir à nos amis, une fois ?
- Pas de problème ! Pour la chauve-souris, je la plaque sur mon Tee-shirt. Les amerloques,
ils y verront que du feu, ils croiront que c'est un Tee-shirt de Batman.
- Bon, mais pour le putois ?
- Hé bien on va le mettre dans ta culotte.
- Dans ma culotte, Hans ! Mais l'odeur ?
- Tant pis. S'il meurt, il meurt !

LOL dsl de ne pas mettre de blague mais taz lol les blag ta ete les chercher ou lol

à propos de la dernière blague... tu aurais pu changer "belge" en "français"
sa serai beaucoup mieux! Et plus jsute.

On me les a raconté comme ca, désolé :shock:

Pour pas flood :

Un joli petit lapin blanc cherche désespérément un coin bien tranquille pour faire ses besoins.
Finalement, il se met derrière un buisson. Il s'installe, se prépare, puis tout a coup un ours énorme apparaît.
Le lapin est terrifie. L'ours le rassure :
"n'ait pas peur mon lapin, moi aussi j'ai envie de chier, c'est la nature, alors on va le faire ensemble OK ?"
"OK" répond le lapin."
Il font la chose, puis l'ours dit :
"Dis donc lapin, t'en a pas marre d'avoir de la merde sur les poils quand tu chies ?"
"euh non".
Alors l'ours attrape le lapin blanc et se torche avec.

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Mr et Mme GENET ont un fils, ce fils a un copain, quel est le nom et le prénom de ce copain ?
- RICO Ray, c'est l'ami du petit des GENET...

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Un gars entre dans un bar, s'avance vers le zinc et passe sa commande :
- Patron, sers donc une bière pour toi, une bière pour moi et une bière pour chacun des gars qui sont ici.
Le patron écarquille les yeux :
- Mais il y a au moins cinquante personnes dans la salle !
- Mais vas-y ! Sers-nous donc !
Le patron sert la tournée et la bière coule à flot sous les ovations de la clientèle.
Le gars prend sa bière et fait cul-sec.
- Patron ressert donc une autre bière pour toi,
une autre bière pour moi et une autre bière pour tous tes clients !
Le gars refait le coup de la tournée générale cinq ou six fois.
Le moment de payer arrive et le gars n'a pas un rond sur lui !
Le patron, furibard,
fait le tour du bar et lui colle une raclée monumentale
au point que le gars se retrouve à l'hôpital dans un bain de plâtre pendant six mois.
En sortant, la première chose qu'il fait est de retourner dans ce même café.
Le patron n'en croit pas ses yeux.
- Patron, sers donc une bière pour moi et une bière pour chacun des gars qui sont ici.
Le patron regarde le gars droit dans les yeux et lui demande d'un air féroce :
- Et moi, je ne bois plus ?
- Oh non ! Toi t'es beaucoup trop méchant quand tu as bu...

Trois femmes s'épanchent sur leurs adultères respectifs dans le compartiment d'un train:

La première:

- Non, je ne peux lui cacher toute cette vérité, je raconterais tout à mon mari.

La deuxième:

- Quel courage !

La troisième:

- Quelle mémoire !

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Quel est le point commun entre une femme et une chaussette? Une fois qu'elle est trouée on la jette.

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Quelle est la différence entre une femme et une
machine? Il n'y en a pas, les femmes c'est comme les machines, si tu
les graisses pas tous les matins ça couine toute la journée !

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Quelle est le point commun entre une femme et une poubelle?

Tu la bourres toute la semaine et ça te fait chier de la sortir le week-end.

______________________The End_______________________

Une blague qui va plaire a rAmmi !

Quel est le moyen le plus rapide pour faire fortune?

Tu achètes un français au prix qu'il vaut et tu le revends au prix auquel il s'estime.

hahaha vous me fait rire:D
dzl moi conait pa de blage je suis belge lol;)

Cuvée Spéciale

Déboucher un tel

dossier est loin

d'être une chose

aisée au moment

où l'actualité nous

commande de parler

du délicat problème

des elfes du Cercle

Polaire surexploités

par un vieillard qui

a fait serment de livrer tous

les enfants en cadeaux chaque année.

Nous avons choisi un sujet encore plus polémique :

pourquoi le Renne Marcel a-t-il le nez rouge ? … Bon d'accord,

j'arrête. Plus sérieusement, ce dossier traite de problèmes d'actualité,

et ce, même s'il ne s'agit pas de l'actualité la plus immédiate. Statistiquement,

la période des fêtes de fin d'année est l'une des plus meurtrières en matière d'accidents de la route ainsi que le souligne Désiré (Accidents de la route : un si lourd tribut !). Il est alors important de faire le point sur les dangers de
l'alcool (notre rédactrice de charme, Mélinda aborde le problème dans : Tu débloques, j'suis pas dépendant !!) et du cannabis (Les dangers ignorés du cannabis). Mais comme ce journal a aussi une vocation divertissante d'autres aspects de l'alcool et du cannabis seront abordés.
Il serait en effet vain de parler d'alcool sans dresser le portrait d'un grand alcoolique : Serge Gainsbourg ; heureusement, Cyril, son grand fan devant l'éternel y a remédié. Voici un dossier qui promettait d'être conséquent.
C'était toutefois compter sans la verve de Martial qui est venu compléter ce dossier par un article faisant le point sur les grands sujets qui ont agité l'actualité politique ces derniers temps. Il donne son avis (très personnel) sur ces sujets brûlants que sont le cannabis, les films X et la prostitution. Il me permet aussi de donner un titre plus racoleur à ce dossier (et oui il faut savoir faire sa pute pour attirer le lecteur !) que certains avaient qualifié de pas assez TF1.Il devait, à l'origine s'intituler "Les Déviances", titre un peu trop flou qui avait pour ambition de regrouper sous une même étiquette des comportements qui choquent la bien-pensance. Je tiens à rappeler que les opinions présentées dans les articles qui suivent n'engagent que leur auteur et que vos réaction sont les bienvenues dans la rubrique courrier des lecteurs. Nous n'avons pas réussi à trouver un rédacteur désirant expliquer pourquoi il refuse la légalisation du cannabis, avis…
Attention : l'alcool est à consommer avec modération et fumer

Tu débloques, j'suis pas dépendant !!

Alcool : où commence la dépendance ?

On définit la dépendance comme l’impossibilité à se passer de la consommation d’alcool sous peine de souffrir physiquement et psychologiquement. Ainsi nombre d’entre nous associent la dépendance à l’alcool aux grands alcooliques. En effet, nous avons tous en tête l’image de l’alcoolique qui se réveille le matin avec un verre de vodka et qui se couche le soir avec un verre de martini, de celui qui a fait de sa bouteille d’alcool sa plus fidèle compagne. Mais qu’en est-il du jeune lycéen ou étudiant qui sort tous les samedis soirs et qui jamais ne se souvient de comment il a pu se traîner jusqu’à son lit ? n°13 Décembre 2002

Tu débloques, j'suis pas dépendant !!

Il faut savoir que l’alcool a une manière insidieuse de s’insérer dans la vie quotidienne des gens et il est généralement très difficile de se rendre compte de sa dépendance vis à vis de l’alcool. Les spécialistes s’accordent à dire que la dépendance vis à vis de l’alcool s’opère en trois étapes majeures :


• lors de la première phase aucun symptôme n’apparaît suite à la consommation d’alcool, le consommateur conserve des activités professionnelles, sociales et familiales normales, et sa santé physique n’est pas notablement affectée

• puis le consommateur, abusant régulièrement de l’alcool mais pas encore dépendant, commence à avoir des difficultés d'ordre relationnel, social et professionnel, l’alcool vient affecter la vie quotidienne de l’individu

• enfin l’alcool commence à créer des dommages sur la santé physique et mentale du buveur, celui-ci ne faisant cependant rien pour arrêter ou même réduire sa consommation. Le buveur est alors alcoolo-dépendant.
Lorsque le buveur devient dépendant, de nombreux symptômes commencent alors à apparaître tels que des tremblements, des crampes ou des troubles de l’alimentation et du comportement. On discerne alors deux types de dépendance :
La dépendance psychique : lorsque le buveur est privé d’alcool il se retrouve dans une situation de malaise, d’angoisse permanente. Il a besoin d’un temps de réadaptation pour se réaccoutumer à une vie sans alcool car cet arrêt de l’alcool a changé du tout au tout sa vie quotidienne et laisse un vide parfois difficile à combler. Cela explique les rechutes potentielles qui font généralement partie du long processus qui mène à une guérison complète.
La dépendance physique : cette fois c’est l’organisme du buveur qui réclame l’alcool à travers des symptômes physiques révélateurs d’un état de manque. Il s’agit essentiellement de tremblements et de convulsions ainsi que de troubles du comportement (irascibilité, anxiété, agitation…). Le sevrage doit donc s’effectuer de manière progressive, sous contrôle médical et avec un soutien psychologique important. Il faut ici souligner l’importance du suivi psychologique tout au long du sevrage car celui-ci joue un rôle majeur pour une guérison complète.
La dépendance peut se déceler par les symptômes généraux suivants :


• l'impossibilité de résister au besoin de consommer

• l'accroissement d'une tension interne, d'une anxiété avant la consommation habituelle

• le soulagement ressenti lors de la consommation

• le sentiment de perte de contrôle de soi pendant la consommation.
Le pas entre une consommation divertissante et une consommation abusive incontrôlée est très vite franchi, bien que la dépendance réelle apparaisse après des périodes diverses selon les individus. Ainsi certains vont pouvoir s’enivrer tous les samedis soirs sans pour autant devenir dépendants tandis que d’autres ne pourront échapper à la spirale de la dépendance.
En France, 5 millions de personnes ont des troubles dus à une consommation excessive d’alcool, 2 millions d’entre elles étant alcoolo-dépendantes. La consommation d’alcool touche les populations de plus en plus jeunes qui passent d(une consommation récréative pendant les fêtes à une consommation excessive. Le danger de « dépendance à l’alcool » guette donc chacun d’entre nous. Le meilleur moyen d’y échapper reste donc une consommation peu fréquente et non excessive de l’alcool, cela n’empêchant pas de s’amuser !!

Mélinda

Bréviaire de la gueule de bois
Voici un livre qui part sur des intentions fort louables : nous faire rire et réfléchir en même temps. Le rire avec une collection de remèdes plus fantaisistes les uns que les autres : on ne sait s'ils soignent la gueule de bois ou s'ils l'aggravent. La réflexion avec un petit essai sur l'ivresse accompagné de références mythologiques. ECNiouzes
Malheureusement, lorsque l'on met ces deux ingrédients dans le shaker il n'en sort qu'une grosse littérature qui tâche. Proprement imbuvable, ce texte ressemble au sujet qu'il a prétention à traiter : il faut l'éviter et oublier au plus vite qu'on l'a eu.

Portrait d'un grand alcoolique :

Serge Gainsbourg

Comment parler alcool et tabac sans avoir une pensée émue pour notre « vieille canaille » préférée, Monsieur Serge Gainsbourg ? L’homme à tête de choux nous a quitté détruit par l’alcool et les excès mais au fond, Gainsbourg aurait-il été Gainsbourg sans l’influence de l’alcool dans sa vie, où plutôt, Gainsbourg serait-il devenu ce Gainsbarre qui a tant marqué les esprits ? Un petit retour en arrière s’impose.
Les premiers albums de Serge sont prometteurs certes mais n’ont pas un succès retentissant. On reconnaît déjà en lui un poète, un jongleur de mots de talent mais, d’un naturel timide et manquant de confiance en lui (oui, oui, on parle du même), il a du mal à s’imposer. C’est dur à croire quand on connaît le personnage de Gainsbarre qu’il créera plus tard. Sa timidité est d’ailleurs l'une des raisons qui le pousse à écrire pour les autres et non pour lui-même, alors que sa voix, encore très audible à l’époque, n’était pas un obstacle. Quand il commence à ne plus passer inaperçu, Serge Gainsbourg est encore très loin du Gainsbarre que l’on connaît : son double alcoolique, cynique et brûleur de pascals. C’est un poète, sensible, doux, et qui ne s’en cache pas. Des chansons, comme l’eau à la bouche sont là pour en témoigner. C’est aussi un dandy, un esthète, un perfectionniste, une sorte de romantique des temps modernes qui transparaîtra toujours derrière le masque du Gainsbarre et qui rendra le personnage si fascinant. Ses textes de l’époque ne sont pas, et c’est dommage car ils comptent parmi les plus beaux, ceux qui ont le plus marqué. Il essayera différentes sonorités avec une avance sur son temps, ce qui ne lui vaudra d'ailleurs pas que des succès. Parmi les thèmes récurrents de cette époque, les amours déçues, avec une constante : c’est l’homme qui souffre, faible victime de femmes sur lesquelles il se trompe constamment. Témoins : la javanaise, la chanson de Prévert et plus tard, l’anamour ou encore cette phrase écrite en gros sur l’affiche d’un de ses premiers films (l’oeuvre cinématographique de Serge est totalement passée à la trappe) : Take girls for what they are not and leave them for what they are. Le cynisme commence à pointer le bout de son nez…
L'alcool aussi, car Gainsbourg qui fume déjà comme un pompier commence à boire plus que de raison. La nuit, il traîne de bar en bar, de fête en fête, ce qui donnera naissance à un nouveau personnage, le double nocturne de Serge dont celui-ci signe l’acte de naissance dans la chanson Ecce homo : « Ouais, c’est moi Gainsbarre, on m’rencontre au hasard des night-clubs, des bars américains, c’est bonnard… ». En bon romantique qu’il est, Serge est fasciné par les personnalités multiples, à la Docteur Jekyll et Mister Hyde, dont il tirera d’ailleurs une chanson. Or il se trouve que Gainsbarre plait, Serge s’en rend compte très tôt. Il intrigue, il dérange, il choque parfois, mais il plait. Dès lors, Serge ne cessera de jouer avec cette image de provocateur. Il aime à se décrire comme un « petit voleur, grand faussaire, cynique, vitriolé, indélébile, maladroit, violent et addict ». Ses frasques télévisuelles sont entrées dans les annales : sa façon plutôt… franche de draguer une certaine Whitney Houston (il l’informe de la chose suivante « I want to fuck you ») ; ce pascal brûlé à 7/7 pour protester contre les impôts sur les artistes ; la Marseillaise remixée en reggae ; ses arrivées sur des plateaux télé plus rond qu’un régiment de centraliens après un tonus open bar, etc. Tout ceci fait fureur. On s’arrache Gainsbarre et on oublie un peu Gainsbourg. Serge aussi. Il joue volontiers de son image et de toute façon, comme il considère la chanson et la musique comme un art mineur, il ne voit pas pourquoi ne pas exploiter le filon. ECNiouzes n°13 Décembre 2002 17
Il sort donc Under arrest , son album le plus provoquant où il raconte les déboires d’un homme amoureux d'une jeune droguée. Au programme : alcool, sexe, cynisme, sexe, jeux de mots vaseux, sexe, phrases à double sens et (on l’aura compris)… sexe. Sur la pochette, une fiche de police à son nom avec la mention « inculpation : détournement de mineures … ». On y trouve tout de même son magnifique aux enfants de la chance, qu’il a écrit pour Bambou, sa compagne de l'époque qui se droguait. Et tant qu’on est dans la controverse, citons aussi love on the beat, lemon incest, le duo qu’il a enregistré avec sa fille Charlotte la décadanse, ou, pour finir sur une touche de bon goût suck baby suck. Interviewé un jour sur son oeuvre, il répondra « Tout ce que j’ai fait, c’est de la merde, à part la Javanaise, j’ai fait que de la merde. » Personnellement, je ne suis pas d’accord.
Si le personnage est douteux, en dessous, l’artiste est présent. Même dans ses chansons les plus controversées, Serge Gainsbourg restera un maître de la rime et du jeu de mots. Il serait dommage que le brûleur de billets de 500 francs fasse oublier quel génial écrivain et compositeur il a été. A ce sujet, il est regrettable que le très généreux chèque qu’il a remis à une association caritative lorsqu’on lui a reproché le pascal brûlé soit tombé dans l’oubli. Sa sensibilité, il continuera à l’exploiter, de moins en moins pour son compte, mais dans les chansons qu’il écrira pour les autres, en particulier dans l’album Baby alone in Babylone [size=12]qu’il composera pour Jane Birkin.
Mais ses excès le rattrapent, ses ennuis de santés s’aggravent, sa voix est de moins en moins audible, ses proches s’inquiètent. Il se retirera quelques jours à la campagne avant d’être hospitalisé, et de s’éteindre. Le patron de l’hôtel où il a passé ces quelques jours raconte que le jour où Gainsbourg a réservé chez lui , il a eu peur qu’il leur fasse le numéro du Gainsbarre insupportable, qu’il soit désagréable avec les autres clients, il craignait des caprices de star et des soirées de débauche. Il raconte avoir été surpris de rencontré un homme doux, aimable, discret et qui parfois, sans raison, s’asseyait au piano et jouait pour eux.

lol:lol: